Le Sentier des Chênes, parcours Art et Nature
A la sortie de Vittel, direction Contrexéville. Accès Forêt Parc... C'est ici que débute le sentier des chênes, parcours de 1.7 km qui circule entre les chênes de la forêt parc. Au gré de la balade et au détour des virages, des réalisations monumentales, liens entre l'homme qui les réalise et de la nature dont il est issu, avec laquelle il échange. |
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Elparo
Imaginer des oeuvres naturelles et responsables. |
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" La naissance de l'Omino" 2023 Alessandro Barina, un artiste peintre autodidacte, a grandi au coeur de l'Amérique Latine, baigné dans l'univers coloré de la Pop-Art qui marquait son enfance. Son parcours artistique est le fruit d'un mélange passionnant entre sa fascination pour la musique, la culture Pop, l'art urbain, l'expressionnisme, le fauvisme, et la magie des paysages des Vosges. À travers ses tableaux aux couleurs urbaines et ses représentations de paysages, Alessandro Barina métamorphose la monotonie quotidienne en une forme d'art captivante. Après une expérience enrichissante au sein du collectif "Les Artchimistes" et une résidence d'artistes et d'artisans à Motoco en Alsace, il se lance désormais en solo, explorant les Vosges où les paysages le réunissent avec la nature et ses éblouissantes palettes de couleurs, ainsi que son cher "omino" (bonhomme en italien). Depuis le 18 février, Alessandro Barina a inauguré son propre atelier et galerie d'exposition au 11 Galerie Thermale à Contrexéville. Cette étape marque une nouvelle phase de son parcours artistique, où il convie les visiteurs à plonger dans son univers créatif vibrant et captivant. Si vous recherchez une expérience nouvelle et stimulante, nous vous invitons chaleureusement à explorer l'univers artistique d'Alessandro Barina. |
"Nous sommes des semeurs de graines " 2023 Chloé Coomans varie ses recherches en se baladant à travers différentes disciplines, telles que la sculpture, la céramique, le dessin, la peinture, la sérigraphie, la gravure, la vidéo, ou encore l'installation. Son univers protéiforme invite à découvrir un monde aux dimensions oniriques qui questionne les origines et le devenir de notre humanité. Son vocabulaire est poétique, engagé, utopiste, universel. Il est un va-et-vient permanent entre amour et révolution, innocence et cruauté, beauté silencieuse et laideur décomplexée. En se révoltant face aux injustices de notre monde, elle devient incisive, dépose des armes sur les autels, attaque de tous côtés par des flèches d'indiens, brûle la terre vue du ciel. Puis elle dépose des fleurs pour adoucir les moeurs et figer la beauté et l'espoir. Son intention pour le sentier des chênes, est de proposer une sculpture qui suggère des formes organiques, entre racines, graines, corail, fleurs, pierres, perles, fruits... Elles sont liées, tel un réseau. Chaque forme invitant la suivante. Cette sculpture pourrait se déployer à l'infini dans l'espace. A vous d'imaginer |
"Apparition" Matériau : bois de cagette 2023 Depuis 2018, le collectif Artimuse composé de Méli et Simon, amis de longue date, propose des installations monumentales en bois de cagette. A travers la revalorisation d'un objet du quotidien, ils permettent aux publics de découvrir le travail du volume en création. Soucieux d'adapter leur travail dans l'espace, à travers des sculptures éphémères ou pérennes, colorées ou brut, ils vous invitent à redécouvrir un lieu avec un regard nouveau. |
"Hikae - Attendre" 2023 Françoise Keyaerts est céramiste. Installation porcelaine pour un arbre mort. Inspiré librement de l'Ikebana : l'art de faire vivre les fleurs ou la voie des fleurs... en attente d'un autre cycle. |
" L'Avaleur" 2023 Fred Martin né en 1969, vit et travaille à Lille et surtout ailleurs. Il pratique la sculpture, la photographie, la performance, le dessin et la gravure. Après un long séjour forcé dans les cages d'un zoo, il part se perdre dans les immensités du Canada et de l'Alaska avant de s'installer pendant plus de deux ans en Inde du sud. Depuis, il ne cesse de voyager à travers le monde où il y réalise ses installations, ses sculptures in situ et y perpétue sa quête entreprise pour révéler l'empreinte du temps qui passe. À la lisière du bois apparaît le visage d'un géant, une bouche ouverte pour avaler l'eau qui serpente à travers les arbres et se nourrir de l'or bleu du territoire. |
Clément Bonich et Espérance Rimondi
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"L'ultime invitation" 2023 A l'attention des êtres qui empruntent ce sentier, Nous sommes les gardiens de la forêt. Vous êtes invité à suspendre le temps au coeur de nos racines. Notre nature sauvage peut vous paraître hostile. Écoutez votre curiosité qui guidera vos pas car nous avons préparé votre accueil. Venez vous blottir et admirer ce que la nature a à vous offrir. Nous vous convions à la contemplation. Notre créativité à germé grâce à la nature. Elle nourrit notre inspiration et nous ressource. Avec le temps, les petits glands sont devenus des chênes. |
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www.construistanature.com |
"Structure n°10" 2023 A l'origine de la série « Structure », cette réflexion de Viollet-le-Duc : “une structure est un «organisme» qui se caractérise moins par sa solidité que par sa «sensibilité» et sa «fragilité».” La création de la structure-organisme obéit à 3 règles : L'ÉQUILIBRE est une coïncidence de forces contraires qui annulent mutuellement leurs effets.Le matériau sollicité se déforme et, ce faisant, emmagasine une énergie qui permet de contrebalancer avec exactitude la sollicitation. LE SYSTÈME. La construction de l'équilibre implique que les éléments qui composent la structure soient ordonnancés en un système. L'ORDRE GÉOMÉTRIQUE. Les forces sont canalisées dans la structure par la matière. Pour atteindre l'équilibre, c'est-à-dire la neutralisation des forces contraires, la structure doit se conformer à une géométrie précise. Les déviations géométriques peuvent entraîner l'instabilité. Michael Chauvel vit et travaille en Bretagne à Pleslin Trigavou (22) In situ, proches du land art, de l'art environnemental, ses oeuvres éphémères naissent dans l'espace propre de chaque lieu. Des pièces au langage visuel sans cesse renouvelé témoignent du dialogue qu'elles cherchent à établir avec le site rencontré. Cette conversation élémentaire peut se lire dans le paysage au travers de couleurs, formes géométriques, éléments spatialisés qui aiment souvent jouer avec l'apesanteur. Jeux de formes et d'énergies naturelles sont au centre de son travail pour une relecture de la Nature....Il cherche ainsi à interpeller et susciter la création d'une poésie intérieure et onirique. |
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mike.larochette@gmail.com |
"L'égaré"
2023 Une entité, l'apparition ou la disparition du personnage. Cette pièce s'articule dans une temporalité qui semble indéfinie, on est face à une figure qui dépeint une image de l'homme herculéen, symbole de puissance et de force. Une image fantasmé pendant des millénaires, on assiste là à son effondrement dans un monde ou les codes sociaux évoluent. Il se dégage ici l'idée de blessure, de perte de repères. La cagette, l'ambivalence entre la noblesse qu'est le bois et l'objet éphémère et utilitaire à usage unique. On ne sait pas si ce que l'on observe est inachevé ou en train de se matérialiser, l'objectif de cette forme plastique est de laisser place à l'imaginaire des lecteur/trices, qu'ils/elles puissent se créer leur propre narration.
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Instagram : atikacamara |
"L'Acouphone" 2023 C'est un banc confortable (autant que faire se peut) en foret. Il amplifie les sons venant de deux directions opposées grâce à des cônes entre lesquels on place sa tête. On prend ainsi conscience de zones d'activités spécifiques du site de la forêt (l'ancien parc à gibier)... Bouuuhouuu ça fait peur ! |
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adrienmeneau@orange.fr |